Maldives

Comme première destination nous avons voulu marquer le coup. Nous avons même poussé l’excès jusqu’à effectuer une partie du voyage en hydravion.

Dès l’avion, la couleur est annoncée

L’archipel des Maldives est une destination prisée de couples fraîchement mariés. Souvent qualifié de paradis, même si je préfère laisser à chacun sa propre définition du paradis, la faune, la flore et la météo annoncent : « bienvenue sous les tropiques ».

Vue de la chambre, cela me change du périphérique Parisien

Malgré un temps changeant, l’environnement est plaisant

Des allures de cartes postales

Cette mer bleue turquoise est un appel à la plongée. Je vous passerai les détails de cette mauvaise première expérience (j’ai toujours été angoissé par l’eau). De retour sur le bateau, je vis le temps se dégrader de manière inquiétante. Sans que l’on s’en rende compte, nous voilà en pleine tempête tropicale.

Des nuages peu rassurants

Le maigre rafiot luttait tant bien que mal contre des creux de trois mètres. J’ai bien cru que j’allais y rester, ce qui a atténué le mal de mer. Le moniteur de plongée, un grec massif toujours là pour gaudrioler, ne nous a pas vraiment rassuré lorsqu’il nous tint, d’une mine des plus sérieuses : « Je vous recommande fortement de remettre vos combinaisons ». Après une heure de bataille, le capitaine a préféré rebrousser chemin pour se réfugier sur une île plus proche.

Un mal pour un bien, nous voici débarqué sur une île de locaux. Peu habitué à voir des étrangers, ceux-ci étaient plutôt amusés de notre sort. Nous avons pu gouter une noix de coco fraîchement ouverte (et son cœur très particulier), ainsi qu’une autre noix, dont je n’ai pas compris le nom, qu’ils concassent, font sécher et probablement frire. Ce n’était pas très goûteux, contrairement à la bonté du geste.

J’ai été assez étonné de constater qu’une île si éloignée soit tout de même touchée par la religion (musulmane, mais ce détail n’a que peu d’importance). Pour eux, Dieu n’est pas mort.

Après des heures d’attente, l’espoir de rentrer s’était effacée avec le soleil. Je trouvais cette perspective plus intéressante que de reprendre une mer agitée. Mais, après un repas concocté par les femmes (qui se cachaient), un bateau plus puissant nous ramènera sur une mer toujours peu clémente.

Le reste de notre séjour sera ponctué de farniente, de piscine et de lecture au son des vagues. Ce qui me sied plus !

Piscine avec vue sur la mer (ainsi que mon somptueux bronzage)

À contempler la mer, on en oublie la flore tropicale

Même la faune profite du paysage